Le domaine de Chatou fut divisé en plusieurs opérations successives, les premières pour de vastes parcelles aux habitations cossues. La dernière pour des pavillons bien plus modestes. La commercialisation fut laborieuse.

Cette pièce d'eau, dite de la villa Lambert, est le reliquat du bassin supérieur du domaine de Bertin. Lors d'une autre étape de lotissement, elle était restée partie indivise entre les lots. On reconnaît le contour du rivage vers la "petite île"

Le nymphée

Sur les cartes postales de l'époque, le nymphée est appelé "coquille de Soufflot". Aujourd'hui, cette dénomination n'a plus guère cours.

Le nymphée

Sur cette carte semi-récente, l'appelation a évolué : ce n'est plus la "coquille de Soufflot". Mais l'éditeur a raté la marche, il l'a appelé "la nymphe de Soufflot" (au dos de la carte).

Le château de Bertin

Le château de Bertin, achevé en 1780, fut abîmé par les bombardements de la guerre de 1870. Jamais vraiment réparé, il fut rasé vers 1910 en vue du lotissement du parc.

Le château Moisant et, à l'extrême droite, le nymphée

Le château Moisant a été édifié vers 1860 sur les terrains du château de Bertin mais plus au sud et regardant directement la Seine.